Parlons maintenant de la scatologie.
Comment accepter ses tendances scatophiles ?
Puis comment passer à l’acte ?
Pour commencer, osez !
Ne pas avoir peur.
Et puis vous pouvez toujours arrêter à n’importe quel moment.
N’oubliez pas qu’il sera nécessaire de pouvoir vous laver.
La merde accroche bien.
Ne manquez ni d’eau ni de savon.
Pour vous initier : chier dans votre culotte.
Deux écoles :
Vous adopter un slip qui laisse s’échapper la merde.
Ou une culotte qui retient, qui garde la merde à l’intérieur.
Mais avant de passer à la merde, je conseille toujours de passer par la case uro.
La pisse est une des portes d’entrée de la scatologie.
Après, vous vous apercevrez que ce n’est pas si sale que cela.
Et le jour où vous serez totalement encaqué, une douche de pisse sera la bienvenue.
La phase masturbation est un étape indispensable.
Au masculin comme au féminin.
Déjà dans cette phase, vous devrez apprendre à vous récurer à fond.
La merde n’est pas exempte de bactéries.
Votre merde est dangereuse, alors celle des autres !
Un bonne initiation est possible dans vos chiottes.
Vous apprendrez ainsi à triturer votre caca.
Pour vous apercevoir que c’est très doux entre vos doigts.
Surtout ne brûler pas les étapes.
Devant le vase de vos w.c., ne pensez pas immédiatement à déguster.
Cela viendra plus tard.
Vous en mettre sur tout le corps est la phase suivante.
Mais pas encore le visage et les cheveux.
C’est très difficile à nettoyer les cheveux.
Et la barbe aussi !
Ce sera alors le moment de passer au ébats en couple.
Que faire si mon partenaire refuse allez-vous dire.
Si vous pensez que vous ne pourrez plus vivre autrement.
Un seul conseil : changez de partenaire.
L’étape suivante sera décisive.
Décisive pour savoir si vous aimez vraiment la merde.
Après un bon enculage dans la merde monsieur devra lécher l’anus de sa compagne et y introduire la langue.
Et madame devra sucer la queue enrobée de merde.
Passée cette épreuve, continuez car tout deviendra possible.
La partouze scato.
L’amour de groupe.
L’amour à trois ou à quatre.
Beaucoup plus d’imagination à plusieurs que seul ou à deux.
Maintenant, c’est le moment de mettre dans la bouche ce qui vous répugnait tant il n’y a pas encore si longtemps.
Goût âcre mais pas désagréable.
Ce sera plus facile les prochaines fois.
Il n’est pas interdit d’avaler.
Mais encore une fois : prudence, les bactéries sont là.
Si vous aimez vraiment jouer dans la merde vous ferez, peut-être, un jour, comme ce brésilien.
Il a aménagé dans sa cave un grand bassin rempli de merde.
Une dérivation de sa fosse septique.
Tout les jours, il s’y immerge, barbote dedans.
Semble le plus heureux des hommes.
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