Jeudi 14 novembre 4 14 /11 /Nov 11:51

Il est temps de parler de mon second livre.

Publié chez Amazon en format Kindle.

Les fosses.

L.KINDLE-COVER-Les-fosses.jpg

Ou la vie et le bonheur dans des fosses de pisses, de merdes etc.

Mon précédent livre Vivre dans l'aisance était basé sur les expériences vécues de scatologues affirmés.

Celui-ci reprend les fantasmes scatologiques de scatologues ou de personnes osant avouer ce genre de "déviances".

Profitons en pour redire qu'un fantasme réalisé n'est plus un fantasme.

Malheureuses personnes qui sont arrivées au bout de leurs fantasmes, il n'y aura plus rien à désirer.

Impossibilité de jouir quasi assurée !

scat-couverture.jpg

Enfin un baptême

 Les semaines ne passaient pas assez vite à mon goût. Le mardi arrivant enfin, je me précipitais vers mes fosses chéries. Cette fois-ci le moniteur se fendit d’un petit sourire. Belle journée aujourd’hui me dit-il, une nouvelle vient se faire baptiser. Du beau spectacle sans doute. Je me déshabillais rapidement ne gardant comme toujours que mon cycliste déjà bien garni de ma merde. Plus de monde que d'habitude dans la salle constatais-je en entrant.

 

Du monde dans toute les fosses. Et la possibilité d’une place libre pour moi dans la fosse à merde très liquide, très brune, comme passée au mixer. Je ne m’y étais pas encore prélassé car à chacune de mes visites elle était toujours occupée. La matière semblait lisse, bien onctueuse.

 

Je me laissais glisser et je fléchis les genoux pour m’enfoncer jusqu’au cou. Mon compagnon de chiasse me fit un signe de tête qui semblait approbatif. Très bien, murmura-t-il, c’est visible que vous aimez cela. Il ajouta rapidement : aujourd’hui nous baptisons un nouveau membre. Seul les trois anciens du comité de réception ont le droit de sortir des fosses pour les présentations. Les autres restent dans les fosses pour regarder mais sans intervenir.

 

Sans répondre je fis un signe de tête pour approuver. J’étais vraiment impatient de voir la suite, je savais qu’il s’agissait d’une femme par le «moniteur» qui avait cafté. Et je me calais le plus confortablement contre le mur de la fosse, flottant dans le caca fluide. Pour une fois, je ne m’enfonçais pas la tête dedans. Je voulais garder yeux et oreilles propres pour ne rien manquer du spectacle. Je m’assoupissais dans la molle tiédeur quand des coups furent frappés à la porte d’entrée. Trois hommes sortirent prestement des fosses pour se diriger vers la porte.

 

Mon voisin de trou faisait partie des trois et me laissait donc seul dans mon trou à merde. Je me masturbais quelques instants pour calmer mon impatience. La porte s’ouvrit et une jeune dame apparut. Belle chevelure blonde bouclée. De jolis escarpins aux pieds. Vêtue simplement d’une robe à fleurs boutonnée sur tout le devant. Elle ne fut pas obligée de descendre la rampe glissante et de s’étaler dans la boue.Deux messieurs du comité d'accueil la soutenait par les mains. Ses escarpins disparaissaient déjà dans la fange, mais cela ne la préoccupait absolument pas. Elle fut conduite doucement devant ma fosse tout en patinant dans la merde. Sauf ses pieds, elle était encore toute propre.

 

Je devais avoir bel air enfoncé dans la merde jusqu’au cou. Elle secoua les jambes pour faire tomber ses escarpins. La merde montait maintenant plus haut sur ses chevilles. Sur un mouvement de tête d’un ancien, elle commença à déboutonner le bas de sa robe. Arrivé à la taille, elle entrouvrit les pans tout en me regardant bien dans les yeux. Elle avait des jambes superbes et surtout une magnifique culotte toute blanche qui devait être neuve. Une culotte montant haut au-dessus de la taille. Une culotte qui magnifiait un pubis gonflé. Sans vraiment écarter les cuisses notre future adepte ne pouvait s’empêcher de vibrer au niveau de sa fourche. Et le blanc opaque de sa culotte devenait clair autour de la source. Sans pudeur, elle mouillait, fort, sans tenter de le cacher. Dans ma merde, je bandais mais ce que j’aurais vraiment aimé faire c’est de renifler, de lécher, de sucer cette culotte. Si vous ne le savez pas encore, je suis aussi fétichiste. Fétichiste de la culotte, du string, du maillot, du body. Devant moi, donc, une réalité plus forte qu’un rêve. Deux anciens se rapprochèrent et chacun pris un bras de la belle. La soulevèrent sans effort apparent. A peine en l’air, la belle lâcha un torrent de pisse à travers sa culotte tout en continuant à me dévisager. L’urine dégoulinait en torrent sur ses cuisses. Dévisager est le seul verbe possible. Elle ne voyait que mon visage. Tout le reste macérait depuis un certain temps dans la merde.

Tenue par les bras elle commençait à descendre lentement dans les excréments. Les pieds, puis les mollet, puis les genoux. La robe à moitié ouverte s’étala en corolle sur l’affreux magma quand les cuisses plongèrent à leur tour. Elle continua à descendre mais la robe fleurie flottait maintenant et dissimulait l’encaquement. La belle se stabilisa dans la fosse à la hauteur supposée de son nombril. Elle continuait à garder les bras en l’air pour ne pas les souiller. Je sentais remuer ses jambes, sans doute écartait-elle sa fourche pour que l’entrejambes de sa culotte se tartine bien. Après quelques minutes, les anciens la firent ressortir de la fosse. Sa robe, encore propre à l'extérieur, la faisait paraître presque normale.

 

De loin, on pouvait penser qu’elle pouvait porter des bas brun foncé. Et la robe déboutonnée s’ouvrit du haut en bas. Merveilleuse vision pour un disciple de Scato. Entièrement recouverte du dessus de la taille aux bouts des orteils. La culotte disparue sous l’épaisse couche. Les bas s’était transformé en collant  brun. Et au dessus, un tronc, des seins, un cou, une tête, des cheveux parfaitement propres. Une statue bicolore parfaite. Cela ne dura que quelques secondes. La belle fut retournée prestement et lâchée la tête la première dans la pâte puante.

 

Elle coula au fond devant moi. Je m’attendais à la voir ressortir immédiatement en crachant fort et en s’essuyant yeux, nez et bouche pour donner ses impression. Il n’en fut rien. Elle ne ressortait pas, elle ne remontait pas à la surface. Je m’inquiétais de plus en plus. Les anciens guettaient avec attention mes réaction éventuelles. Sans hésiter, je m’immergeais complètement dans le caca et remontait sans effort la belle. Qui se laissa faire sans opposer la moindre résistance. J’avais dans les bras un gros paquet de merde. Un paquet qui se cramponnait maintenant à mon cou. Nous n'avions plus vraiment forme humaine. Aucun traits discernables de nos visages, les cheveux disparaissaient sous une couche d’excréments. Nous ouvrîmes la bouche et les yeux ensemble. Immédiatement elle colla sa bouche contre la mienne et lança sa langue pleine de caque dans ma bouche pour m’explorer la cavité buccale en tous sens. Elle m’obligeait à avaler de la merde. En même temps, une main se détacha de mon cou et descendit le long de ma poitrine direction le bas-ventre. D’un coup ma bitte fut tirée et branlée d’une main de professionnelle. Il faut dire que ma queue n’attendait que cela. J'avais tiré le gros lot, une vraie salope ! Je devais immédiatement lui rendre la pareille, lui chipoter le minou, rentrer dedans.

 

Mes mains, au plus profond de la merde, baissèrent sa culotte et rentrèrent dans sa chatte sans effort. Je ne le sentais pas mais elle devait mouiller comme une fontaine. Deux puis trois doigts  pénétrèrent sans difficulté. Avec l’autre main je faisais rouler son clito entre mes doigts. Dans ses mains mes couilles et ma verge allaient exploser. Plus de doigts dans son vagin mais immédiatement mon vit. Qui s’enfonça jusqu’à la garde. Une pensée me traversa l’esprit : après le devant, le derrière. Mais en attendant il fallait pistonner le plus fort possible.

 

Je me retirais au bord extrême du jutage. Je retournais ma belle et lui mis la queue dans l’anus. Une rentrée glissando sans aucun effort. Et comble de la situation, je percevais qu’elle chiais pendant mon va et vient. Chier dans une fosse remplie de merde, il faut le faire ! Une vraie salope, j’avais dit. Quel bonheur, combien de temps cela allait-il durer ? Je fus de suite bien dépité. La belle sortait de la fosse en me disant négligemment que ce serait sa seule et unique expérience. Elle voulait savoir et maintenant elle savait. Elle ne comptait pas passer sa vie avec des malades. Merci pour le compliment ! Mais avait-elle vraiment tort ?

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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 10:21

En France, comment pénaliser les clients des prostituées ?

Ou comment perdre son temps, lutter contre les moulins à vent.

Combat perdu d’avance sur une des plus anciennes pratiques.

En Belgique et en Hollande, nous sommes plus pragmatiques.

Pénaliser, c’est encourager à la clandestinité.

C’est rendre la pratique plus dangereuse.

C’est la porte ouverte à toutes les mafias.

L’expérience de la prohibition aux USA n’a rien appris.

Un âne ne butte jamais deux fois sur le même caillou.

Un politicien, oui.

Un premier Eros-Center fonctionne à Anvers, la Villa Tinto.

A la satisfaction des clients et des prostituées.

Un second s’ouvrira à Seraing (Liège)

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Le futur Eros Center comportera 34 chambres de 23 m2 , un jardin intérieur de 

350m2 , un bureau de police, des services administratifs, des parkings (séparés) 

pour le personnel et pour la clientèle et quelques autres locaux.

Contrairement au centre anversois Villa Tinto, l’Eros Center de Seraing ne sera pas 

géré par le privé, mais par une ASBL (association sans but lucratif).

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L’Eros Center sera bâti de façon à éviter les contacts entre le personnel et la 

clientèle, en dehors bien entendu des chambres qui servent d’interface entre les 

mondes intérieur et extérieur. L’entrée du personnel s’effectuera par un autre côté 

du bâtiment que pour la clientèle. Le cœur de l’immeuble et son jardin intérieur 

seront réservés aux prostitué(e)s, alors que les clients déambuleront à l’extérieur, 

devant les chambres équipées d’une porte et d’une vitrine. Le principe est le 

même qu’actuellement, sauf que cela se fait à pied.Le complexe sera recouvert 

d’une sorte de voile en mailles métalliques qui, en plus de son utilité esthétique, 

permet au personnel et à la clientèle d’avoir une vue sur l’extérieur sans pour 

autant être reconnus depuis l’extérieur.

Les faux-culs seront satisfaits.

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Lundi 4 novembre 1 04 /11 /Nov 09:22

Suite du feuilleton sur la loi en projet pour pourchasser les clients des prostituées.

Un intéressant article paru dans le journal Le Monde.

Qui peut-être pourrait élargir le débat.

Oui, il y des prostituées libres et contentes.

J’en ai rencontrée.

Mais il y a surtout des femmes forcées, battues, subissant les plus infâmes chantages sur leur famille.

La cause se trouve dans un trop grand laxisme vis à vis des proxénètes.

La police et la justice font tellement peu.

Quand elles ne sont pas complices.

Les proxos sont de bons indics.

Plus facile de pénaliser les putes et leurs clients.

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Une prostituée rapporte 150.000 euros par an à un proxénète. 

Par JACQUES BESNARD 

Publié le vendredi 01 novembre 2013 

"Je n'avais jamais pensé à être client mais je me suis rendu compte qu'il y avait des cas de violence envers toutes les femmes ou hommes qui se prostituaient."

Patric Jean est un cinéaste belge installé à Paris, porte-parole du collectif masculin ZéroMacho. Il sort un livre "Pas client", plaidoyer pour abolir la prostitution.

Il explique dans son livre avoir connu deux fois l'enfer : en prison et en côtoyant le milieu de la prostitution.

Dans les deux cas, ce sont dans ces milieux que j'ai vu la plus grande détresse, la plus grande souffrance. J'ai rencontré des femmes dans des maisons d'hébergement pour femmes en détresse. Elles sortaient tout juste du milieu. Elles étaient totalement détruites... Cette première rencontre m'a bouleversé. Je n'avais jamais pensé à être client mais je me suis rendu compte qu'il y avait des cas de violence envers toutes les femmes ou hommes qui se prostituaient.

Selon lui, l'abolition de la prostitution est la solution. Certains expliquent qu'il y aura de toute façon de la prostitution mais dans des lieux cachés. Cela ne ferait-il pas qu'accroître au final le danger pour ces femmes ?

C'est un argument du lobby des proxénètes. Une prostituée rapporte 150 000 euros par an à un proxénète. Depuis plusieurs années, la Suède ou l'Islande ont interdit l'achat de services sexuels en criminalisant les consommateurs de sexe et les hommes y vont de moins en moins. Par millions d'habitants, il y a 20 fois moins de femmes prostituées en Suède qu'aux Pays-Bas. Les hommes n'y vont plus parce qu'ils ont peur que leur femme ou leur voisin l'apprennent. La police suédoise a intercepté des conversations de la mafia. Ces derniers disaient de ne plus envoyer de femmes là-bas car les clients n'y allaient plus. Partout où la prostitution a été légalisée, la mafia a pris le pouvoir dans ces quartiers. La prostitution ne disparaîtra pas, c'est sûr, c'est comme la pédophilie. Mais à nous d'établir la norme de comportement que l'on veut voir mise en place dans nos sociétés.

En France, 343 salauds ont clamé leur droit à "leur pute" signés notamment par Eric Zemmour, Nicolas Bedos. Quelle est la réaction de Patric Jean après ce manifeste publié dans le mensuel "Causeur" ?

Ils n'étaient que 19, ils ne sont plus que 17 puisque Nicolas Bedos et Daniel Leconte se sont rendus compte qu'ils avaient fait une erreur en le signant... Ce sont des vieux réactionnaires de droite. Ils défendent une idée qui a 5000 ans, ils ont une vision archaïque de la société. Nous on défend une idée neuve. Une société basée sur l'égalité entre les hommes et les femmes. Il y a des études qui montrent que là où on avait légalisé la prostitution, il y avait plus de cas de harcèlement sexuel. C'est le cas dans certains cantons en Suisse. Au Nevada, où les bordels ont été légalisés, le taux de viol a très largement augmenté. Vivre dans une société où louer le corps d'une femme est légitime vous invite à toutes les violences machistes.

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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 10:33

Dans LE MONDE de ce 30 octobre 2013 :

 

343 « salauds » réclament leur droit à la pute.


Plus de quarante ans après le manifeste des 343 salopes conduit par Simone de Beauvoir, c'est dans une intention autrement moins féministe que des hommes signent un nouveau manifeste. Le texte, intitulé "Touche pas à ma pute ! Le manifeste des 343 salauds", qui entend protester contre  la proposition de loi visant à pénaliser les clients des prostituées.l

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La méthode est la même qu'en 1971, des hommes – cette fois emmenés par Frédéric Beigbeder –  réclament le droit d'avoir librement recours aux services des prostituées , refusant que "des députés édictent des normes sur [leurs] désirs et [leurs] plaisirs".

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"En matière de prostitution, nous sommes croyants, pratiquants ou agnostiques", écrivent-ils. Certains d’entre nous sont allés, vont, ou iront aux "putes" – et n’en n’ont même pas honte. Nous considérons que chacun a le droit de vendre librement ses charmes – et même d’aimer ça. (...)

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"Nous n’aimons ni  la violence, ni l’exploitation, ni le trafic des êtres humains. Et nous attendons de la puissance publique qu’elle mette tout en œuvre pour lutter contre les réseaux et sanctionner les maquereaux. 

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 Nous aimons la liberté, la littérature et l’intimité. Et quand l’Etat s’occupe de nos fesses, elles sont toutes les trois en danger. Aujourd’hui la prostitution, demain la pornographie : qu’interdira-t-on après-demain ? Nous ne céderons pas aux ligues de vertu qui en veulent aux dames (et aux hommes) de petite vertu. Contre le sexuellement correct, nous " entendons vivre en adultes."

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Je n’ai rien à ajouter.

Sauf, retournez dans vos bénitiers grenouilles de grande vertu.

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Jeudi 24 octobre 4 24 /10 /Oct 11:57

Cette dépêche m’amuse beaucoup :

Un sex shop en ligne et «halal» s'ouvre en turquie

AFP 21 OCTOBRE 2013 À 12:30


Les produits vendus sur le site sont conformes à la religion musulmane.

 Le premier sex shop en ligne proposant aux internautes des produits estampillés «halal», c’est-à-dire conformes aux normes de la religion musulmane, a récemment ouvert en Turquie.

 

De présentation très sobre, le site www.helalsexshop.com offre dès sa page d’accueil une rubrique hommes et une rubrique femmes, identifiée par le profil d’une femme voilée, clairement séparées, proposant chacune leurs produits spécifiques.

Contrairement aux sex shops traditionnels, il ne propose ni jouets ni accessoires, et encore moins de photos ou de vidéos suggestives, mais uniquement des préservatifs, crèmes et autres gels ou huiles de massage.

Selon ces promoteurs, ce site doit permettre de lutter contre les préjugés liés à l’islam, qui est considéré selon eux comme étant «opposé à la sexualité».

«L’islam encourage la sexualité sous certaines circonstances», assurent-ils sur le site, précisant que «l’usage de chaque produit en vente est en accord avec l’islam».

L’apparition de ce nouveau site inédit en Turquie a attiré l’attention des réseaux sociaux et de la presse du pays, officiellement à 99% musulman.

«Il faut rechercher dans cette nouveauté des visées commerciales plutôt qu’une volonté d’éduquer les Turcs en matière de sexualité», tranchait lundi un éditorialiste du journal libéral Radikal.

harem-a.jpg

Ne voyez aucune connotation raciste à cet article.

Si le Vatican, le Temple, la Synagogue ou tout autre système de restriction au plaisir annonçait ce genre de nouvelle ma réaction serait la même.

 

Réaction de joie et de contentement pour une lueur d’espoir d’émancipation.

Et d’enfin abandonner les airs faux-culs.


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Tous mes voeux de réussite à ce site.

 

Il est piquant de voir que ce site porte le nom de KADIM pour les femmes.

La Kadim était la première épouse, et, la mère de l’héritier du titre de sultan. 

A la Cour Ottomane. Les Haseki Sultan ou Kadin Efendi.


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Et espérons que ce site imposera un certain renouvellement 

des garde-robes !

 

 

 

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