Il est temps de parler de mon second livre.
Publié chez Amazon en format Kindle.
Les fosses.
Ou la vie et le bonheur dans des fosses de pisses, de merdes etc.
Mon précédent livre Vivre dans l'aisance était basé sur les expériences vécues de scatologues affirmés.
Celui-ci reprend les fantasmes scatologiques de scatologues ou de personnes osant avouer ce genre de "déviances".
Profitons en pour redire qu'un fantasme réalisé n'est plus un fantasme.
Malheureuses personnes qui sont arrivées au bout de leurs fantasmes, il n'y aura plus rien à désirer.
Impossibilité de jouir quasi assurée !
Enfin un baptême
Les semaines ne passaient pas assez vite à mon goût. Le mardi arrivant enfin, je me précipitais vers mes fosses chéries. Cette fois-ci le moniteur se fendit d’un petit sourire. Belle journée aujourd’hui me dit-il, une nouvelle vient se faire baptiser. Du beau spectacle sans doute. Je me déshabillais rapidement ne gardant comme toujours que mon cycliste déjà bien garni de ma merde. Plus de monde que d'habitude dans la salle constatais-je en entrant.
Du monde dans toute les fosses. Et la possibilité d’une place libre pour moi dans la fosse à merde très liquide, très brune, comme passée au mixer. Je ne m’y étais pas encore prélassé car à chacune de mes visites elle était toujours occupée. La matière semblait lisse, bien onctueuse.
Je me laissais glisser et je fléchis les genoux pour m’enfoncer jusqu’au cou. Mon compagnon de chiasse me fit un signe de tête qui semblait approbatif. Très bien, murmura-t-il, c’est visible que vous aimez cela. Il ajouta rapidement : aujourd’hui nous baptisons un nouveau membre. Seul les trois anciens du comité de réception ont le droit de sortir des fosses pour les présentations. Les autres restent dans les fosses pour regarder mais sans intervenir.
Sans répondre je fis un signe de tête pour approuver. J’étais vraiment impatient de voir la suite, je savais qu’il s’agissait d’une femme par le «moniteur» qui avait cafté. Et je me calais le plus confortablement contre le mur de la fosse, flottant dans le caca fluide. Pour une fois, je ne m’enfonçais pas la tête dedans. Je voulais garder yeux et oreilles propres pour ne rien manquer du spectacle. Je m’assoupissais dans la molle tiédeur quand des coups furent frappés à la porte d’entrée. Trois hommes sortirent prestement des fosses pour se diriger vers la porte.
Mon voisin de trou faisait partie des trois et me laissait donc seul dans mon trou à merde. Je me masturbais quelques instants pour calmer mon impatience. La porte s’ouvrit et une jeune dame apparut. Belle chevelure blonde bouclée. De jolis escarpins aux pieds. Vêtue simplement d’une robe à fleurs boutonnée sur tout le devant. Elle ne fut pas obligée de descendre la rampe glissante et de s’étaler dans la boue.Deux messieurs du comité d'accueil la soutenait par les mains. Ses escarpins disparaissaient déjà dans la fange, mais cela ne la préoccupait absolument pas. Elle fut conduite doucement devant ma fosse tout en patinant dans la merde. Sauf ses pieds, elle était encore toute propre.
Je devais avoir bel air enfoncé dans la merde jusqu’au cou. Elle secoua les jambes pour faire tomber ses escarpins. La merde montait maintenant plus haut sur ses chevilles. Sur un mouvement de tête d’un ancien, elle commença à déboutonner le bas de sa robe. Arrivé à la taille, elle entrouvrit les pans tout en me regardant bien dans les yeux. Elle avait des jambes superbes et surtout une magnifique culotte toute blanche qui devait être neuve. Une culotte montant haut au-dessus de la taille. Une culotte qui magnifiait un pubis gonflé. Sans vraiment écarter les cuisses notre future adepte ne pouvait s’empêcher de vibrer au niveau de sa fourche. Et le blanc opaque de sa culotte devenait clair autour de la source. Sans pudeur, elle mouillait, fort, sans tenter de le cacher. Dans ma merde, je bandais mais ce que j’aurais vraiment aimé faire c’est de renifler, de lécher, de sucer cette culotte. Si vous ne le savez pas encore, je suis aussi fétichiste. Fétichiste de la culotte, du string, du maillot, du body. Devant moi, donc, une réalité plus forte qu’un rêve. Deux anciens se rapprochèrent et chacun pris un bras de la belle. La soulevèrent sans effort apparent. A peine en l’air, la belle lâcha un torrent de pisse à travers sa culotte tout en continuant à me dévisager. L’urine dégoulinait en torrent sur ses cuisses. Dévisager est le seul verbe possible. Elle ne voyait que mon visage. Tout le reste macérait depuis un certain temps dans la merde.
Tenue par les bras elle commençait à descendre lentement dans les excréments. Les pieds, puis les mollet, puis les genoux. La robe à moitié ouverte s’étala en corolle sur l’affreux magma quand les cuisses plongèrent à leur tour. Elle continua à descendre mais la robe fleurie flottait maintenant et dissimulait l’encaquement. La belle se stabilisa dans la fosse à la hauteur supposée de son nombril. Elle continuait à garder les bras en l’air pour ne pas les souiller. Je sentais remuer ses jambes, sans doute écartait-elle sa fourche pour que l’entrejambes de sa culotte se tartine bien. Après quelques minutes, les anciens la firent ressortir de la fosse. Sa robe, encore propre à l'extérieur, la faisait paraître presque normale.
De loin, on pouvait penser qu’elle pouvait porter des bas brun foncé. Et la robe déboutonnée s’ouvrit du haut en bas. Merveilleuse vision pour un disciple de Scato. Entièrement recouverte du dessus de la taille aux bouts des orteils. La culotte disparue sous l’épaisse couche. Les bas s’était transformé en collant brun. Et au dessus, un tronc, des seins, un cou, une tête, des cheveux parfaitement propres. Une statue bicolore parfaite. Cela ne dura que quelques secondes. La belle fut retournée prestement et lâchée la tête la première dans la pâte puante.
Elle coula au fond devant moi. Je m’attendais à la voir ressortir immédiatement en crachant fort et en s’essuyant yeux, nez et bouche pour donner ses impression. Il n’en fut rien. Elle ne ressortait pas, elle ne remontait pas à la surface. Je m’inquiétais de plus en plus. Les anciens guettaient avec attention mes réaction éventuelles. Sans hésiter, je m’immergeais complètement dans le caca et remontait sans effort la belle. Qui se laissa faire sans opposer la moindre résistance. J’avais dans les bras un gros paquet de merde. Un paquet qui se cramponnait maintenant à mon cou. Nous n'avions plus vraiment forme humaine. Aucun traits discernables de nos visages, les cheveux disparaissaient sous une couche d’excréments. Nous ouvrîmes la bouche et les yeux ensemble. Immédiatement elle colla sa bouche contre la mienne et lança sa langue pleine de caque dans ma bouche pour m’explorer la cavité buccale en tous sens. Elle m’obligeait à avaler de la merde. En même temps, une main se détacha de mon cou et descendit le long de ma poitrine direction le bas-ventre. D’un coup ma bitte fut tirée et branlée d’une main de professionnelle. Il faut dire que ma queue n’attendait que cela. J'avais tiré le gros lot, une vraie salope ! Je devais immédiatement lui rendre la pareille, lui chipoter le minou, rentrer dedans.
Mes mains, au plus profond de la merde, baissèrent sa culotte et rentrèrent dans sa chatte sans effort. Je ne le sentais pas mais elle devait mouiller comme une fontaine. Deux puis trois doigts pénétrèrent sans difficulté. Avec l’autre main je faisais rouler son clito entre mes doigts. Dans ses mains mes couilles et ma verge allaient exploser. Plus de doigts dans son vagin mais immédiatement mon vit. Qui s’enfonça jusqu’à la garde. Une pensée me traversa l’esprit : après le devant, le derrière. Mais en attendant il fallait pistonner le plus fort possible.
Je me retirais au bord extrême du jutage. Je retournais ma belle et lui mis la queue dans l’anus. Une rentrée glissando sans aucun effort. Et comble de la situation, je percevais qu’elle chiais pendant mon va et vient. Chier dans une fosse remplie de merde, il faut le faire ! Une vraie salope, j’avais dit. Quel bonheur, combien de temps cela allait-il durer ? Je fus de suite bien dépité. La belle sortait de la fosse en me disant négligemment que ce serait sa seule et unique expérience. Elle voulait savoir et maintenant elle savait. Elle ne comptait pas passer sa vie avec des malades. Merci pour le compliment ! Mais avait-elle vraiment tort ?
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