scatologie

Cela recommence !

Les pères et les mères "lamorale" sont de nouveau lâchés.

Suffit pas d’emmerder les putes.

Faut aussi emmerder leurs clients.

Les pénaliser, faire cracher des amendes.

1500 euros d’amende.

En cas de récidive : 3750 euros et 6 mois de prison.

France, terre de tolérance et de liberté !

Que sont devenus nos beaux lupanars du temps passé ?

Le temps des maisons confortables et des filles volontaires.

Volontaires pour des raisons économiques diront les bonnes âmes.

Oui, encore aujourd’hui c’est le fric qui les guide.

Gagne en un jour le salaire d’un mois de caissière de super-marché?

Bonnes âmes, si vous voulez que cela cesse, augmenter donc les caissières !

Les maisons closes ont été fermées il y plus d’un demi-siècle.

Pour supprimer le métier.

Résultat : le trottoir, les voitures, le téléphone et ...le bois de Boulogne.

Belle avancée sociale.

Interdire, pénaliser, faire payer est la seule réponse à ce problème de société.

La prostitution existe depuis l’aube de l’histoire.

En Grèce, à Rome, la profession n’était pas montrée du doigt.

Montrée maintenant du doigt par leurs hypocrites clients. 

Et toutes les interdictions n’y feront rien.

Interdisez, sanctionnez comme vous le voulez, cela continuera.

Simplement les prix augmenteront.

L’exemple de la prohibition aux USA n’a pas servi.

Les Allemands sont plus pragmatiques

Des bordels où les filles sont plus en sécurité.

Et les clients aussi.

Et nos amis Hollandais, vrai pays de la liberté.

Toutes les spécialités au grand jour.

Rien de caché.

Et même une assistance sexuelle aux malades et aux handicapés.

Des travailleuses du sexe médicalisées.

Des pays comme la Suisse, le Danemark, la Belgique ont les mêmes services.

En France, c’est assimilé à de la prostitution.

Dans le journal "La Libre" à Bruxelles :

Tunisie : »Le jihad al-nikah, permettant des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte.»

Faut-il en rire ou en pleurer.

Ici les sommets de l’hypocrisie sont dépassés.

Le «jihad al-nikah" (guerre sainte du sexe en arabe). Le jihad al-nikah, permettant des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. 

Le jihad terminé seront-elles lapidées ?

Plutôt que d'interdire, ce qu’il faudrait faire :

Sécuriser les filles (et les hommes bien entendu).

Leur donner un statut social.

Leur donner de vrais moyens de réinsertion.

Leur donner des espaces de travail sécurisés.

Et surtout punir les proxénètes.

Vraiment les punir !