Mardi 26 novembre
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Les fêtes de fin d’année approchent.
Pensez aussi à offrir un livre.
Pensez à vous offrir un livre.
Quelques suggestions :
Du grand Esparbec.
Sûrement l’auteur le plus prolifique en pornographie.
Prolifique et de grande qualité.
Un deuxième livre d’Esparbec s’impose aussi.
Il y a de bons polars, de bons bouquins de SF, pourquoi pas de bons pornos ? Pourquoi la pornographie devrait-elle
être laissée à des écrivains de second ordre ? Dénués de talent ? Pourquoi la vouer aux poubelles de la littérature, aux sex-shops ?
A déguster sans modération !
Toute la description du livre est dans le titre !
Plus d’un million d’exemplaires vendus.
Une auteure au parler particulièrement cru.
Un chat, plutôt une chatte, est une chatte !
Un sérieux réquisitoire contre l’hygiénisme et ses suppôts.
Un grand livre de Sylvie Parker.
Les amours d'une notaireresse.
En partie du vécu, en partie de l'imaginaire.
Des nouvelles écrites par Valentine Abé pour son amant. Elle met en scène des amis, des couples, des inconnus, des
solitaires. Et droit au but : pas de préliminaires, pas de paroles superflues, du sexe cru, violent.
En vingt ans, Claude Delbouis a dû écrire une bonne centaine d'ouvrages «à ne pas mettre entre toutes les mains».
Fréquentant assidûment les clubs échangistes de la capitale, il y recueille la matière de ses récits.
Rien ne vaut le vécu», déclare-t-il.
Du porno féminin ou féministe ? Les différences observées avec le porno traditionnel? David Courbet évoque «les jeux de
lumière, les dialogues, un scénario, les physiques imparfaits, les scènes filmées avant et après les scènes de sexe, de nombreuses fellations mais également de nombreux cunnilingus, la femme qui
peut être à l’origine du rapport sexuel et qui n'est pas forcément passive. Les dialogues sont plus élaborés et on a une histoire».
L'auteur rappelle les résultats d’un sondage commandé par Marc Dorcel, grand producteur de films pornos en France : 83% des françaises ont
déjà vu du porno, un extrait ou un film en intégralité et 29% sont des consommatrices régulières.
Par Ovidie, ex star française du porno.
Un engagement pour la pornographie et les prostituées.
A des principes sur le combat des prostituées : "Combattre la marchandisation du corps, c'est combattre le principe
d'être rémunéré pour un service. On peut en conclure qu'il est intolérable de payer son médecin après une consultation, puisqu'il est demandé de l'argent en échange d'un service" Une pièce a
ajouter aux dossiers des parlementaires pour qu'ils ne sombrent pas trop dans la bigoterie.
Si vous n'avez jamais lu ce livre, il est grand temps de faire votre éducation !
L'Histoire d'Ô est simple : une jeune femme libre et indépendante, dans les années
1950, est emmenée par son amant dans un château où l'on « dresse » les
femmes. Elle y devient esclave, de son plein gré. Elle y souffre (elle doit s'accoutumer au fouet ) et n'y connaît au fond que peu de plaisirs si ce n'est celui d'appartenir à quelqu'un.
C'est dans le donjon qu'elle est marquée au fer rouge aux initiales de son maître.
Cela sent bon le porno-rétro d'après guerre !