Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:02

Un article paru dans le journal bruxellois Le Soir :

Le string serait mauvais pour la santé

Par Anna Mellone
Mis en ligne jeudi 17 octobre 2013, 19h06

 

Porter des strings aurait un impact négatif sur la santé. Infection et irritation seraient les deux plus grands risques. Cet article risque de rendre ce petit bout de tissu moins attrayant.

Parfois trop serrés, parfois inconfortables, parfois pas si propres que ça… Et s’ils font des merveilles pour éviter les lignes disgracieuses de petites culottes sous les pantalons moulants, il semblerait que porter des strings ne soit pas anodin pour la santé.

Selon Jill M. Rabin, gynécologue et professeur d’obstétrique au collège Albert Einstein dans le Connecticut, ce genre de sous-vêtement n’est pas nécessairement dangereux. Tout dépend en fait de la propension aux infections de chacun. « Le problème est que si vous avez une prédisposition aux infections, si bien urinaires que vaginales, il sera plus difficile de se débarrasser de ces pathologies en portant des strings  », explique Jill M. Rabin.

Optez pour du coton…

Certaines caractéristiques de ces pièces sexy comporteraient des risques pour la santé. Beaucoup de strings, en particulier ceux en dentelle, sont fabriqués à partir de matériaux qui ne laissent pas respirer la peau, contrairement au coton, et qui entraînent donc l’apparition d’humidité responsable d’infections. Il est d’ailleurs conseillé de porter de la lingerie composée entièrement de coton, et pas uniquement sur sa partie interne.

En effet, «  la couche extérieure des sous-vêtements qui comportent du coton uniquement sur l’entrejambe rend le tissu moins perméable à l’air et permet ainsi le développement de plus d’humidité pouvant se révéler néfaste  », précise cette fois la gynécologue Shieva Ghofrany.

… et des coupes amples

Les deux plus grands risques encourus lorsque l’on porte un string sont l’irritation et l’infection. Question irritation, l’entrejambe est une partie sensible où l’épiderme est beaucoup moins résistant. Ainsi, à force de va-et-vient, la peau se blesse plus rapidement.

Coté infection, même lorsque le string est entièrement en coton, sa lanière trop fine crée un risque supplémentaire en raison d’une plus grande exposition des parties génitales aux matières des vêtements portés. « Et compte tenu de l’augmentation des leggins et jeans « slim », qui ont tous du Lycra ou du Spandex (des tissus synthétiques), il y a encore plus d’humidité emprisonnée », poursuit le Dr Ghofrany.

Sans parler des déplacements inopinés de la bande du string côtoyant l’entrejambe qui pourraient transférer des bactéries d’un endroit à un autre plus facilement. « Si la partie arrière du tissu contient des bactéries et que vous êtes physiquement actif, celles-ci peuvent être déplacées. La lanière du sous-vêtement pourrait déposer les bactéries du côlon dans le vagin ou l’urètre », commente le docteur Rabin. Et ça risque de faire mal.

Histoire d’éviter toute infection, il est préférable de ne pas porter ce genre de lingerie en période de menstruations. Quant aux hémorroïdes, Shieva Ghofrany assure que les strings ne sont pas la cause de leur apparition. Par contre, ils peuvent les aggraver en « irritant le rectum et en frottant sur les zones touchées ».

Pas de panique pour autant, s’il n’y a pas d’antécédents d’infections, il n’y a aucune raison de développer ces désagréments. «  Si une personne est en bonne santé, il n’y a pas vraiment de danger  », ajoute le Dr Rabin. Pour les adeptes du string, il suffit donc de rester vigilant et de veiller à une bonne hygiène intime.

lingerie-string-transparent-copie-1.jpg

Et il ne s’agit ici que d’un usage «propre» du string.

Que dire donc d’un usage uro ou scato.

Sous des aspects médicaux, serait-ce un attaque contre un accessoire réellement érotique ?

Le string, cela ne doit pas plaire aux bigots !

lingerie-string-noir-a.jpg

C’est trop commode pour des levrettes sans déshabillage.

Pour fourrer une bitte sous la petite ficelle.

gays-fetichisme.jpg

Et les hommes aiment aussi porter des strings.

Ils aiment le va et vient de la ficelle contre le trou du cul. 

string-homme.jpg

Décharger dedans est un vrai plaisir.

Sentir le sperme déborder par les élastiques et couler sur les cuisses.

string-perce.jpg

Dans une soirée gay, arborez un string percé.

Succès assuré.

Lingerie-dans-la-fente.jpg

Mesdames, rentrez votre string dans la fente.

Avantage : il est de suite parfumé.

Et un mouvement de va et vient vous procurera une belle masturbation.

string-piss-a.jpg

Et n’oubliez pas le plaisir de pisser dans votre string.

Peut-être pourriez-vous le faire sucer après à votre partenaire ?

string-fendu.jpg

Un peu de piment ?

Adopter le string fendu.

Mais est-ce bien nécessaire ?

Liingerie-string-noir.jpg

Une levrette en gardant son string, quoi de plus excitant.

Monsieur, vous songerez à vous retirer avant d’éjaculer.

Pour arroser copieusement de sperme les fesses offertes.

Et par la même occasion le tissu qui n’attend que cela.

string-caca.jpg

Une petite restriction.

Le string n’est pas tellement recommandée pour le scato.

Déborde trop vite.

A moins que cela soit le but recherché.

Alors rien à dire !

 

 

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Mardi 15 octobre 2 15 /10 /Oct 15:35

 

J’avais jusqu’ici parlé de merde joyeuse, de merde réclamée, de merde désirée.


En quelques mots : jouir dans la merde.

Magnifique pour qui est volontaire.

Mais la merde peut-être un terrible moyen de répression.

De contrôle social.

Examinons ce que l’homme peut faire à l’homme.

Pour imposer ses idées, sa loi, sa répression.

pilori.jpg

Une des pratiques très courantes au Moyen-Age était le pilori.

En général, un voleur était exposé à la vindicte publique.

Souvent enfermé dans une cage.

Quelques heures ou quelques jours !

Le bon peuple pouvait venir le souiller avec toutes sortes de déchets.

Y compris des poignées de merdes.

charivari-b.jpg

Une autre forme de notre jolie civilisation, encore au Moyen-Age.

Le charivari.

Ou la punition des cocus, des cocues, des amants, etc.

Les villes n’étaient pas pourvues du tout à l’égout à l’époque.

Chaque matin la charrette du vidangeur ramassait les pots de chambre.

Remplis de pisses et d’excréments.

Charrette qui finissait par déborder de sanies. 

C’était alors que la fête pouvait commencer.

La bonne populace allait dénicher les couples infidèles.

Pour les précipiter dans la charrette puante.

Les malheureux se débattant dans le purin.

Si les malheureux avaient été surpris nus, ils restaient immergés pour défendre ce qu’il restait encore de pudeur.

De là l’expression : dans la merde jusqu’au cou.

Galere-a.jpg

Une punition beaucoup plus terrible était infligée aux forçats.

Les galères.

Les malheureux étaient enchaînés à leurs bancs.

Sans possibilité de se déplacer.

Ils pissaient et chiaient sous eux.

Seule les coups de mer venaient nettoyer cette crasse.

Et si la galère coulait, les malheureux galériens enchaînés à leurs bancs coulaient avec.

Les galères furent supprimées vers les années 1750.

dessin-chine.jpg

Les chinois peuvent aussi être raffinés !

Par exemple : la révolution culturelle

Ou les intellectuels expédiés à la campagne.

Pour surtout répandre l’engrais humain, avec les  mains de préférence.

L’engrais humain, c’est la merde de l’homme.

Voir les vieux professeurs, les intellectuels, les artistes obligés de fouler et de triturer de la merde amusait beaucoup les gardes rouges.

latrines.jpg

Nos «amis» nazis aimaient aussi s’amuser.

Quand un prisonnier s’attardait trop aux latrines la punition tombait.

Le malheureux était précipité tête la première dans la fosse.

Et se débrouillait seul pour remonter à la surface.

torture-en-Algerie.jpg

Et nos joyeux militaires ?

La gégène, vous connaissez ?

Une génératrice raccordée aux parties sexuelles du torturé.

Effet immédiat en plus de la souffrance intolérable : les sphincters se relâchent et le torturé se vide de sa pisse et de sa merde.

Ce n’était pas vraiment recherché mais un dommage collatéral !

Toutes les armées «modernes» y ont eu recours.

Avec une mention spéciale pour les paras en Algérie.

kgb.jpg

Les geôles du KGB à Mouscou renfermaient des tonneaux remplis de merde.

Pour y faire macérer les prisonniers entre les interrogatoires.

Usage pas du tout généralisé, pour les plus récalcitrants.

Aucun document car personne n’a envie de s’en vanter !

Mais nos amis américains à Guantanamo obligeaient certains prisonniers à se rouler dans la merde pour les humilier.

bobby-sand.jpg

Je termine en signalant que l’usage de la merde peut se retourner contre l’autorité.

En Angleterre, du temps de le chère Madame Thatcher, des prisonniers politiques irlandais revendiquaient le statut de prisonnier politique. Ce que la bonne dame refusait. Ils entamèrent une grève de la fin qui dura 60 jours et se termina avec la mort de Bobby Sand. Pour encore accentuer leurs revendications les prisonniers vivaient nus dans leurs cellules et n’utilisaient plus les seaux hygiéniques. Ils barbouillaient les murs de leurs excréments.

Ce qui ne fit jamais fléchir cette «grande» dame.

 

 

 

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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 11:22

Un des livres que je viens de publier relate le chemin parcouru par une actrice du X spécialisée dans la scatologie.

Vivre-dans-l-aisance.jpg

Ce livre est publié sur Amazon Kindle sous mon nom avec pour titre :

Vivre dans l’aisance.

C’est l’histoire d’une actrice qui prend plaisir à se rouler dans la merde.

Mais qui veut quitter cette profession.

Cette actrice est le fruit de mon imagination.

Mais tous les faits racontés sont véridiques, sont la retranscription de multiples interviews d’acteurs et d’actrices ayant choisi de gagner leur vie dans l’urine et les fèces.

Pour vous en donner un aperçu, voilà un court chapitre en citation :

Frisko ou Eskimo ?

 

La suite ne se fit pas attendre. J’étais de suite mise à l’épreuve. 

Dans deux jours, je serais la vedette d’un film « frisko ».

Je frémis, je savais ce que c’était.

Un frisko c’est le nom donné en Belgique à notre eskimo. 

De la glace vanille enrobée d’une couche de chocolat sur un bâtonnet. 

Les moins futés auront certainement compris.

La vedette, ce serait moi, qui goberait, sucerait, nettoierait une bite enduite de merde.

Moi qui aimait la fellation !

Et qui donc je retrouvais sur le plateau ?

Ce cher Salvador, enculeur de charme sur tellement de tournages.

Ah, ce qu’il m’avait déjà bien limé le cul !

Il était doté d’un fort bel organe.

Pas épais, mais long avec un gland énorme.

Et surtout doté d’une belle courbure, comme un cimeterre.

Il allait tellement profond quand il enculait qu’il pénétrait quasi le colon.

Un vrai artiste pour les vrais connaisseurs.

J’adorais.

 

J’étais étonnée, je ne le connaissais pas comme acteur scato.

C’était sa première prestation, un peu forcée d’ailleurs.

Son cher producteur lui avait fait comprendre qu’il allait prendre de l’âge, qu’il était nécessaire de se reconvertir, que de nouvelles jeunes queues se pressaient au portillon.

Le même parcours que le mien.

Mais j’avais une longueur d’avance sur lui : j’avais déjà goûté à la merde.

Et je comptais bien l’initier. 

Le scénario était comme toujours minable.

Au cours d’une partouze « normale » un mâle attirait dans une pièce éloignée une pétasse pour la sodomiser.

La dite pétasse, moi, avait le rectum rempli et refusait un enfilage du cul.

Le monsieur faisait semblant d’acquiescer.

Le monsieur faisait mettre la pétasse à quatre pattes, en levrette.

Et commençait un sérieux ramonage d’un sexe bien luisant.

Le luisant, c’était de la vaseline, question photogénie.

Et le monsieur sans demander la moindre permission changeait d’orifice.

Sa verge plongeant directement dans une merde qui n’attendait que cela.

Et en plus, la fille poussait pour se venger.

La merde sortait le long de la verge et tartinait la raie du cul.

Furieux, le monsieur se retirait.

Il était tout sale et voulait un bon nettoyage.

La fille à genoux devant lui attendait sa punition.

Elle devait gober la pine merdeuse, l’inonder de salive et la sucer.

Sucée pour un nettoyage complet.

 

J’eu droit à une dernière recommandation du metteur en scène.

Je ne devais pas oublier que c’était ma merde que je sucerais et avalerais.

Que ce ne serait pas toujours ainsi.

Bravo pour l’encouragement !

Cela ce déroula comme cela, mais avec quelques ajouts et variantes.

Et j’avais vraiment la merde à ras du trou du cul.

Depuis trois jours, je me retenais, je n’allais plus à la toilette.

C’est cela la conscience professionnelle.

Et il fallait se dépêcher pour que je contrôle encore mon sphincter.

Ce serait malheureux de tout lâcher avant les prises de vue !

Cela allait venir car en enlevant ma culotte, il y avait déjà du brun dedans.

Et Salvador me lima bien le con.

Puis entra profondément dans mon cul et … dans ma merde.

S’il fut surpris, il n’en laissa rien paraître.

Son mouvement de piston me vidait de mes excréments.

Le bruit de succion s’il n’était pas délicat rythmait bien les coups de bitte.

Mes fesses et son ventre se couvraient d’une merde généreuse.

Que c’était doux et agréable.

Celui qui ne connaît pas l’enculage dans le caca ne connaît rien !

Le moment de ma punition arrivait.

Je me mis à genoux et attendit.

Lui, dressé devant moi, la queue et le gland couvert de merde.

Et son ventre et son pubis complètement encaqué.

Tous ses poils disparaissant dans la sanie.

Et j’eu droit à quelques coups de pine sur mes joues et mon visage.

Il frappait le côté gauche et le côté droit alternativement.

Jolies décorations et odorantes aussi.

L’avantage, c’est qu’il y aurait moins de merde à avaler.

Il me tira les cheveux en arrière et j’ouvris une grande bouche.

Et de suite la verge au fond.

Mes lèvres de suite entourées d’un bel anneau de caca.

Je suçais consciencieusement.

J’avalais ma salive et ma merde.

Et il continuait à bien bander.

Hors scénario, j’avais glissé sa main entre ses cuisses et lui explorait le rectum.

Et ce salaud avait de la réserve.

Mon index s’enfonça sans aucune difficulté dans sa merde.

Il n’attendait que cela.

Il poussa un bon coup.

Un gros étron bien chaud me remplit la paume.

Que faire avec ?

Lui en tartiner les couilles et ne pas oublier mes seins.

Mais je m’activais toujours buccalement sur sa queue.

Je le sentis venir, lui aussi.

Il sortit prestement son engin pour m’arroser le visage.

Et il me le refourra dans la bouche.

Maintenant c’était sperme et merde.

Délicat cocktail !

Et je continuais à nous enduire de caca.

Mon visage dégoulinait de foutre.

Je voulu terminer en beauté.

Mes mains totalement encaquées me firent un splendide masque de beauté.

Et Salvador maintenant qui commençait à se masturber.

Avec ses mains remplies de nos deux merdes.

Sa bite disparaissant dans le caca.

Et une nouvelle éjaculation face à la caméra.

 

Le metteur en scène était aux anges.

Et Salvador et moi aussi.

Heureux de nous être retrouvés.

Heureux d’avoir surmonté avec succès nos répulsions.

Heureux de la prime qui allait tomber.


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Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 10:51

 

Dans le grand journal belge Le Soir il y a quelques jours:

L’homo sapiens était-il pornographe avant l’heure?

Didier Dillen
Mis en ligne vendredi 13 septembre 2013, 12h32

 

Modernes, les scènes de nus plus ou moins artistiques ? Pas le moins du monde. Les premières représentations à caractère sexuel datent carrément du paléolithique. Le coït dessiné le plus ancien aurait, lui, au moins 12.000 ans. Plus vintage que ça . . .


Depuis qu’il grave la pierre, l’os de mammouth ou le bois de renne, Homo sapiens gribouille des personnages dénudés. Était-il pornographe avant l’heure ? Vouait-il plus simplement une forme de culte à la fécondité ? Nul ne le sait. Dès la naissance de l’art pariétal, voire avant, on voit apparaître les premiers objets ouvertement suggestifs. Mise au jour en 2008 dans une grotte située en Allemagne, la Vénus de Hohle Fels, aux formes généreuses et à la vulve bien dessinée, date par exemple probablement de 40.000 ans avant notre époque. Ce qui en fait même un des plus anciens exemples connus d’art figuratif.

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Des pin-up dans les grottes

À partir du paléolithique supérieur, il y a entre 35.000 et 10.000 ans donc, les images érotiques commencent à se multiplier. Des milliers de gravures, dessins et objets à caractère nettement sexuel ont ainsi été recensés. Certains objets, sculptés en os ou en corne, sont tellement réalistes qu’on se demande s’ils ne sont pas les ancêtres des godemichés ! 

gode-neholitique.jpg

Fait curieux, parmi toutes ces images, les hommes sont largement sous représentés. Et quand ils le sont, leur phallus en érection est souvent le seul détail morphologique un tant soit peu détaillé. Rien à voir avec le traitement artistique réservé aux femmes. Non seulement les modèles féminins de la préhistoire sont plus beaux, plus nombreux et toujours très déshabillés, mais Cro- Magnon s’est aussi ingénié à en restituer avec soin les caractères sexuels et même à les accentuer : seins surgonflés, fesses et hanches callipyges, pubis rebondi… Il s’est même arrangé pour représenter une fente on ne peut plus explicite, là où la position du personnage ne permet normalement pas de la révéler ! Témoin, ces merveilleuses Vénus préhistoriques, dont quelque deux cent cinquante exemplaires ont été retrouvés un peu partout en Europe.

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Coït préhistorique

Si les artistes de l’époque osent le déshabillé et même le plan rapproché, ils semblent n’avoir représenté aucune scène de sexe proprement dit. En tout cas entre humains. Les rares images de coït, de masturbation, voire d’amours lesbiens ou bestiaux décrits par certains sont loin de faire l’unanimité parmi les chercheurs. Pour prendre Cro-Magnon en flagrant délit de galipettes, il faut attendre la toute fin du paléolithique supérieur. Une plaque en schiste découverte dans la grotte d’Enlène, en Ariège, montrerait presque à coup sûr un couple en train de pratiquer une véritable levrette. Elle daterait d’environ 12.000 ans. Ce qui en ferait la plus vieille image porno au monde. Pour certains, il s’agirait peut-être d’un coït anal entre hommes.

venus_37.jpg

Porno rupestre

Il faut patienter jusqu’au début du néolithique pour voir les scènes graveleuses se multiplier. Non plus en Europe, mais au Sahara cette fois. Dans ces régions jadis fertiles, bien connues pour leur magnifique art rupestre. Certains endroits présentent une concentration spectaculaire de gravures franchement olé olé, qui pourraient dater de 5400 ans av. J.-C. C’est le cas de la région de l’Oued Djerat en Algérie ou encore du fameux site de Ti-n-Lalan en Lybie. Plus réalistes, plus obscènes aussi, elles montrent des hommes et des femmes en train de se faire du bien dans à peu près toutes les configurations imaginables : exhibitionnisme, sexe oral, masturbation, levrette, position accroupie, sur le dos, et parfois à plusieurs. Certaines gravures montrent aussi des accouplements étonnants entre des femmes et d’étranges créatures mi-homme mi-animal, mais toujours solidement montées. Fantasmes érotiques ? Personnages déguisés et masqués ? On ne s’ennuyait en tout cas pas du tout au néolithique !

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Homosexualité préhistorique

L’homosexualité n’était certainement pas inconnue de nos très lointains ancêtres. Au néolithique, les cas de dessins montrant des couples de même sexe en train de faire crac-crac sont assez courants. Sur le plateau du Messak libyen, on peut ainsi admirer plusieurs représentations mettant en scène deux hommes, dont l’un coiffé de cornes est clairement en train d’en sodomiser un deuxième. Une autre gravure, tout aussi explicite, fait même intervenir un troisième larron !

prehistoire.jpg

Rien donc de nouveau.

Nos ancêtres étaient peut-être moins hypocrites que nous.

 

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Lundi 30 septembre 1 30 /09 /Sep 09:21

La boue est-elle un substitut de la scatologie ?

Une sorte de scatologie «propre».

Une scatologie par défaut.

Il est encore trop tôt pour répondre.

Mais examinons maintenant ce que nous nommons pornographie.

Soit la représentation du sexe et des actes sexuels.

Et démontrons que ce n'est pas nouveau.

Que cela a toujours été une obsession pour tous.

Antiquite-Prehistoire.jpg

Ici une des plus anciennes représentations connues.

Un petit dessin gravé sur une pierre noire.

Un cul offert en levrette ?

AntiquiteTI-n-Lalan.jpg

Les belles et grandes bittes avaient déjà du succès !

antiquite-Oued-Djerat.jpg

Succès sur tous les continents.

Antiquite-Penis-statue.jpg

Dans toutes les positions.

Antiquite-asian.jpg

Avec zoophilie et fellation.

Antiquite-bas-relief-dd.jpg

Dans les positions les plus acrobatiques

Antiquite-.jpg

De la vraie gymnastique.

antiquite-haut-relief-groupe.jpg

Et un peu de vantardise !

Antiquite-bitte.jpg

L’amour à trois magnifié.

Antiquite-fresque-trio.jpg

Et de jolies positions.

antiquite-lupanar.jpg

Arrêtons ici.

Avec cette fresque d’un lupanar à Pompéi.

Je n’ai donné ni les lieux ni les dates car ceci n’est pas un cours d’histoire.

Simplement pour démontrer que la pornographie n’est pas chose nouvelle.

Que le sexe a toujours intéressé le genre humain.

A toutes les époques.

Que tout le monde ne pense qu’à cela.

En bien ou en mal.

Comme vous et moi.

 

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