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Vous pensez sans doute que je fais l’apologie de la pornographie.
Et pire, de la scatologie?
Il n’en est rien.
Je fais l’apologie de la liberté de pensée.
Et du droit de chacun faire ce qu’il veut de sa vie.
Avec la restriction de ne pas faire de tort aux autres.
Ni en parole, ni en actes.
Et dans le domaine du sexe respecter les opinions et pratiques de chacun.
Le désir de choquer de certains me choque.
L’approche scientifique de la pornographie refuse tout jugement de valeur.
Simplement observer, décrire.
Ne jamais parler de déviance.
Les déviants, ce sont toujours les autres.
La seule pornographie défendable est celle entre personnes consentantes.
Dès qu’il y a contrainte, violence, ce n’est plus de la pornographie.
C’est du domaine de la Loi, de la Justice.
Nous n’en parlerons pas ici.
Mais nous allons étudier quelques formes de sexualité à titre d’exemple.
Honneur pour commencer à la masturbation.
Pour les deux sexes bien entendu.
Ce qu’il y a de plus simple à pratiquer.
Vous l’avez toujours sur vous !
Que n’avons-nous pas entendu comme âneries ?
Que cela éroderait les désirs futurs.
Connerie ! Ce sont ceux qui se masturbent le plus qui ont le plus le goût des jeux sexuels.
Et ceux qui ne pratiquent pas qui sont piètres amants ou frigides partenaires.
Autre connerie : cela rendrait sourd.
Nous vivrions, si c’était vrai, dans un monde de sourd.
Et il n’y aurait que des sourds au Vatican.
Bien masturbé, vous pouvez envisager d’autres choses.
Jeux entre homme et femme, entre femme et femme, entre homme et homme.
Homme et femme sont ici au singulier, à trois ou à quatre ou plus encore sera certainement plus pimenté.
Un bon piment est une dose de fétichisme.
Pensez donc a parfois endosser des vêtements sexy.
Ne pas avoir ni peur ni honte mesdames à enfiler des vêtements de putes.
Si les putes s’habillent comme cela, c’est que cela plait à leurs clients.
Et vous, vous n’avez pas envie de plaire au partenaire ?
Et si après ces plaisirs assez conventionnel vous passiez à autre chose.
La sodomie par exemple.
Attention, la première fois cela peut faire très mal.
Les gels lubrifiants ne sont pas fait pour les chiens !
Mon conseil, quand la verge va entrer dans l’anus, le pénétré ou la pénétrée poussera très fort, comme pour faire caca.
Dilatation assurée du rectum.
Un seul risque : une bitte merdeuse.
Vous avez découvert la scatologie.
L’autre risque c’est que vous aller sans doute en redemander.
Sachez encore que il n’y a pas si longtemps que la sodomie n’est plus un délit dans nos pays «civilisés».
Dans quelques états, généralement musulmans, c’est encore la peine de mort, et appliquée.
Avant de connaître vraiment les délices de la merde, commencez donc par la pisse.
La pisse est sans danger.
Du moins si le partenaire n’a pas d’infections urinaires.
Vous pouvez même en boire.
Quelques personnes boivent un verre chaque jour de leur propre urine.
Cela garde en bonne santé, disent-ils.
Pour ne pas mourir de soif des naufragés de la mer ou du désert en boivent.
Ils n’en sont pas morts, du moins de cela.
Si certains ont une répulsion pour l’urine, d’autres sont dégoûtés par le sperme.
Ne le toucherait pour rien au monde de leurs belles mains.
Et encore moins le recevrait en bouche et l’avalerait.
Alors s’en faire asperger le visage !
Tout est une question d’habitude.
Après la pisse, il faut aborder la merde.
Faire l’amour dans la merde !
Je conviens que ce n’est pas très esthétique.
Mais il y a plusieurs gradations dans cette pratique.
Chier dans sa culotte est à la portée de tout le monde.
S’enduire le corps aussi.
Y ajouter la tête et les cheveux demande de la détermination.
La dernière étape sera d’en manger.
Là, je dis : attention.
Ce n’est pas sans réel danger pour la santé.
Les acteurs scatos se bourrent d’antibiotiques.
Ce qui est un autre danger.
Bien réfléchir avant de pratiquer.
Une autre «déviance» est le sado-masochisme.
Tant que chaque partenaire est consentant, rien à redire.
Après, c’est de la torture, c’est un délit.
Une des variantes du sadisme est le bondage.
Ou l’enfermement du corps dans toutes sortes de cordages.
Certains montages sont vraiment du domaine de l’Art.
Je ne parlerais pas de la zoophilie.
Pourtant pratiquée depuis que l’homme est homme.
Comme ici il ne s’agit certainement pas de partenaires libres et volontaires, cela sort du cadre de mon étude.
Il y a un exhibitionnisme toléré par ceux qui sont regardés et trouvent cela plutôt grotesque.
Il y a un exhibitionnisme demandé dans l’amour de groupe par exemple.
Et il y a aussi l'exhibitionnisme agressif, qui force à regarder, celui-ci est un délit.
Autre pratique à deux facette : le voyeurisme.
Le voyeurisme qui vole, qui se cache, qui se fait discret.
Genre flics qui se rincent l’oeil au bois de Boulogne avant de verbaliser.
Et le voyeurisme demandé, réclamé.
Genre le mari qui se repait de voir sa femme défoncée par un autre.
Si tout le monde est content, rien à redire.
Et rien à redire d’aucune pratique sexuelle si tout le monde est satisfait.
Difficile de parler de la nécrophilie.
Difficile d’affirmer que tous les partenaires sont consentants !
Et le savez-vous : en France la nécrophilie n’est pas un délit.
Du moins en tant que pratiques sexuelles.
Vous pourriez être poursuivi par exemple pour profanation de tombe.
Le législateur a parfois de ces oublis !
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