Partager l'article ! N’oublions jamais notre divin marquis: Le nôtre, le grand Sade. Qui osa tout, qui libéra l ...
Le nôtre, le grand Sade.
Qui osa tout, qui libéra l’écrit.
Qui créa la notion de sadisme.
Le plaisir dans la douleur.
En l’infligeant.
En la subissant.
Qui glorifia l’amour de groupe.
La partouze.
La cruauté, le suplice.
Et le paroxisme de la violence.
Accompagnée de la pire scatologie dans son livre inachevé.
Les 120 journées de Sodome.
Un film a bien évoqué toutes ces débauches.
Le dernier film de Pasolini.
Salô
Peu de personnes y assistent jusqu’à la fin.
Beaucoup y vomissent.
Ne pas se tromper sur les intentions du créateur.
Il ne voulait pas glorifier le sadisme ni la pornographie.
Mais dénoncer le fascisme.
Il ne vit jamais le film.
Il fut assassiné quelques jours après la fin du tournage.
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