boue et scato

Mercredi 4 décembre 3 04 /12 /Déc 11:33

Pour ne pas perdre la main.

Un peu de scato pour rire cette fois.

De l’humour scato.

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Et un seul magazine à avoir osé.

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Hara Kiri bien entendu.

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Et il peut en remettre une couche !

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Comment s’amuser à la plage.

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A votre santé.

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Et bon appétit !

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Samedi 30 novembre 6 30 /11 /Nov 10:56

La loi adoptant la pénalisation des clients de prostituées est passée.

Les grenouilles de bénitiers sont arrivées à leur fin.

Mais bien entendu, toutes les mesures pour aider les putes à se reclasser vont être prises. Tu parles ! Avec quel budget ? Ce qui n’a pas été fait hier, pourquoi se fera-il demain ? La lutte contre les proxénètes, pas trop s’avancer, faut pas remuer les complicités étatiques et policières. Je propose que le premier élu qui a voté cette loi soit exposé en place publique dans un tonneau de merde !

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Vous l’avez sans doute raté !

Un document extaordinaire sur Arte à 23:50 heures.

Heure idéale pour récolter peu d’audience.

Un document pourtant plus instructif que toutes les lois.

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La gloire des putains.

Un triptyque sur la prostitution en Thaïlande, au Bangladesh et au Mexique. Loin des reportages voyeuristes, un documentaire rare sur les travailleuses du sexe.

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Bangko à "L’Aquarium", les filles sont dotées de numéros derrière une vitre. Le patron du lieu vante aux clients les qualités de ses recrues, de l’étudiante docile à la "tigresse". Les tarifs, de 35 à 41 €, varient en fonction de l’âge et des spécialités requises. Le macreau insiste lourdement : les filles peuvent tout faire. Les filles n’ont pas l’air malheureuses. Mais résignées. 

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Faridpur au Bangladesh. Au coeur de cette ville de 1,7 million d’habitants, un bordel géant nommé "Cité de la Joie". Des ruelles insalubres, de minuscules pièces en rez-de-chaussée et à l’étage, pas de sanitaires mais des seaux et des cuvettes. C’est le royaume des mères-maquerelles qui ont chacune leurs troupes de gagneuses qu’elles achètent (entre 45 et 75 €) à des rabatteuses et dont elles font l’"éducation".  Dans la violence. La passe coûte entre 2 et 4 €. Mais ici, religion musulmane oblige, les prostituées sont très "couvertes" en public…, et pipes interdites, le Coran réprouve. Cet épisode est plus efficace que n’importe quelle loi pour dégoûter totalement des amours tarifiées.

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Maintenant auMexique. A la frontière du Texas, la zona de tolerancia est un quartier contrôlé par une barrière, où les clients circulent en voiture. Ici le commerce du sexe s’insère dans un univers de syncrétisme à la mexicaine, avec ses rituels de sorcellerie, ses têtes de mort (la santa muerta) et une Sainte Vierge omniprésente sous forme de tatouages ou de statues. Les femmes espèrent se protéger ainsi des ravages de la drogue et de la violence des clients qu’elles satisfont moyennant 10 à 15 €.

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Ces femmes revendiquent leur satut de pute et en sont fières.

Pas de parolles édulcorées, celle  du dessus dit qu’elle n’aime que les partenaires mutiples, qu’elle aime la bitte, qu’elle n’est heureuse que «remplie».

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D’emblée, celle-ci dit qu’elle est une super suceuse. Qu’elle avale tout, toujours. Quelle est la spécialiste des «pipes glacées). C’est avec un morceau da glace dans la bouche.

Elle est rès loquace. Nous apprend qu’elle peut se taper 40 hommes par jour. Qu’ils peuvent tout faire. Devant, derrière, dans la bouche. Que la majorité des hommes aiment se vider dans sa bouche. Que d’autres ont leur plaisir en lui giclant sur les seins, la figure, les cheveux. En s’esclaffant elle dit que c’est dégoûtant. Mais elle le dit d’un air que cela ne la dérange pas.

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Je n’ai, à 68 ans, jamais eu recours aux putains. Je trouve cela trop dégradant, pour le client. Pas le sexe en soi, mais la facilité, la paresse de n’avoir pas à conquérir une partenaire. De n’avoir aucun échange réel. de savoir qu'elle méprise le client. Que le client n'est qu'un billet de banque. Plutôt se masturber si se soulager devient nécessaire ! Je ne condamne ni les putains ni leurs clients. C’est nécessaire, parait-il ? Comme de dormir ou de manger. C’est aussi mon avis, pour ceux qui ne peuvent faire autrement.

 

 

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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 10:54

Les fêtes de fin d’année approchent.

Pensez aussi à offrir un livre.

Pensez à vous offrir un livre.

Quelques suggestions :

livres la foire aux cochons

Du grand Esparbec.

Sûrement l’auteur le plus prolifique en pornographie.

Prolifique et de grande qualité.

livre les mains baladeuses

Un deuxième livre d’Esparbec s’impose aussi.

Il y a de bons polars, de bons bouquins de SF, pourquoi pas de bons pornos ? Pourquoi la pornographie devrait-elle être laissée à des écrivains de second ordre ? Dénués de talent ? Pourquoi la vouer aux poubelles de la littérature, aux sex-shops ? 

A déguster sans modération !

livres zone humide

Toute la description du livre est dans le titre !

Plus d’un million d’exemplaires vendus.

Une auteure au parler particulièrement cru.

Un chat, plutôt une chatte, est une chatte !

Un sérieux réquisitoire contre l’hygiénisme et ses suppôts.

livres x

Un grand livre de Sylvie Parker.

Les amours d'une notaireresse.

En partie du vécu, en partie de l'imaginaire.

livres

Des nouvelles écrites par Valentine Abé pour son amant. Elle met en scène des amis, des couples, des inconnus, des solitaires. Et droit au but : pas de préliminaires, pas de paroles superflues, du sexe cru, violent.

livre fantasme

En vingt ans, Claude Delbouis a dû écrire une bonne centaine d'ouvrages «à ne pas mettre entre toutes les mains». Fréquentant assidûment les clubs échangistes de la capitale, il y recueille la matière de ses récits.

Rien ne vaut le vécu», déclare-t-il. 

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Du porno féminin ou féministe ? Les différences observées avec le porno traditionnel? David Courbet évoque «les jeux de lumière, les dialogues, un scénario, les physiques imparfaits, les scènes filmées avant et après les scènes de sexe, de nombreuses fellations mais également de nombreux cunnilingus, la femme qui peut être à l’origine du rapport sexuel et qui n'est pas forcément passive. Les dialogues sont plus élaborés et on a une histoire».

L'auteur rappelle les résultats d’un sondage commandé par Marc Dorcel, grand producteur de films pornos en France : 83% des françaises ont déjà vu du porno, un extrait ou un film en intégralité et 29% sont des consommatrices régulières.

 

livres f

Par Ovidie, ex star française du porno.

Un engagement pour la pornographie et les prostituées.

A des principes sur le combat des prostituées : "Combattre la marchandisation du corps, c'est combattre le principe d'être rémunéré pour un service. On peut en conclure qu'il est intolérable de payer son médecin après une consultation, puisqu'il est demandé de l'argent en échange d'un service" Une pièce a ajouter aux dossiers des parlementaires pour qu'ils ne sombrent pas trop dans la bigoterie.

Livres Ô

Si vous n'avez jamais lu ce livre, il est grand temps de faire votre éducation !

L'Histoire d'Ô est simple : une jeune femme libre et indépendante, dans les années 1950, est emmenée par son amant dans un château où l'on « dresse » les femmes. Elle y devient esclave, de son plein gré. Elle y souffre (elle doit s'accoutumer au fouet ) et n'y connaît au fond que peu de plaisirs si ce n'est celui d'appartenir à quelqu'un. C'est dans le donjon qu'elle est marquée au fer rouge aux initiales de son maître. 

 

Cela sent bon le porno-rétro d'après guerre !


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Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 10:22

Le nôtre, le grand Sade.


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Qui osa tout, qui libéra l’écrit.

Qui créa la notion de sadisme.

Le plaisir dans la douleur.

En l’infligeant.

En la subissant.


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Qui glorifia l’amour de groupe.

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La partouze.

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La cruauté, le suplice.

Et le paroxisme de la violence.

Accompagnée de la pire scatologie dans son livre inachevé.

Les 120 journées de Sodome.


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Un film a bien évoqué toutes ces débauches.

Le dernier film de Pasolini.

Salô


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Peu de personnes y assistent jusqu’à la fin.

Beaucoup y vomissent.

Ne pas se tromper sur les intentions du créateur.

Il ne voulait pas glorifier le sadisme ni la pornographie.

Mais dénoncer le fascisme.


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Il ne vit jamais le film.

Il fut assassiné quelques jours après la fin du tournage.


 

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Jeudi 14 novembre 4 14 /11 /Nov 11:51

Il est temps de parler de mon second livre.

Publié chez Amazon en format Kindle.

Les fosses.

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Ou la vie et le bonheur dans des fosses de pisses, de merdes etc.

Mon précédent livre Vivre dans l'aisance était basé sur les expériences vécues de scatologues affirmés.

Celui-ci reprend les fantasmes scatologiques de scatologues ou de personnes osant avouer ce genre de "déviances".

Profitons en pour redire qu'un fantasme réalisé n'est plus un fantasme.

Malheureuses personnes qui sont arrivées au bout de leurs fantasmes, il n'y aura plus rien à désirer.

Impossibilité de jouir quasi assurée !

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Enfin un baptême

 Les semaines ne passaient pas assez vite à mon goût. Le mardi arrivant enfin, je me précipitais vers mes fosses chéries. Cette fois-ci le moniteur se fendit d’un petit sourire. Belle journée aujourd’hui me dit-il, une nouvelle vient se faire baptiser. Du beau spectacle sans doute. Je me déshabillais rapidement ne gardant comme toujours que mon cycliste déjà bien garni de ma merde. Plus de monde que d'habitude dans la salle constatais-je en entrant.

 

Du monde dans toute les fosses. Et la possibilité d’une place libre pour moi dans la fosse à merde très liquide, très brune, comme passée au mixer. Je ne m’y étais pas encore prélassé car à chacune de mes visites elle était toujours occupée. La matière semblait lisse, bien onctueuse.

 

Je me laissais glisser et je fléchis les genoux pour m’enfoncer jusqu’au cou. Mon compagnon de chiasse me fit un signe de tête qui semblait approbatif. Très bien, murmura-t-il, c’est visible que vous aimez cela. Il ajouta rapidement : aujourd’hui nous baptisons un nouveau membre. Seul les trois anciens du comité de réception ont le droit de sortir des fosses pour les présentations. Les autres restent dans les fosses pour regarder mais sans intervenir.

 

Sans répondre je fis un signe de tête pour approuver. J’étais vraiment impatient de voir la suite, je savais qu’il s’agissait d’une femme par le «moniteur» qui avait cafté. Et je me calais le plus confortablement contre le mur de la fosse, flottant dans le caca fluide. Pour une fois, je ne m’enfonçais pas la tête dedans. Je voulais garder yeux et oreilles propres pour ne rien manquer du spectacle. Je m’assoupissais dans la molle tiédeur quand des coups furent frappés à la porte d’entrée. Trois hommes sortirent prestement des fosses pour se diriger vers la porte.

 

Mon voisin de trou faisait partie des trois et me laissait donc seul dans mon trou à merde. Je me masturbais quelques instants pour calmer mon impatience. La porte s’ouvrit et une jeune dame apparut. Belle chevelure blonde bouclée. De jolis escarpins aux pieds. Vêtue simplement d’une robe à fleurs boutonnée sur tout le devant. Elle ne fut pas obligée de descendre la rampe glissante et de s’étaler dans la boue.Deux messieurs du comité d'accueil la soutenait par les mains. Ses escarpins disparaissaient déjà dans la fange, mais cela ne la préoccupait absolument pas. Elle fut conduite doucement devant ma fosse tout en patinant dans la merde. Sauf ses pieds, elle était encore toute propre.

 

Je devais avoir bel air enfoncé dans la merde jusqu’au cou. Elle secoua les jambes pour faire tomber ses escarpins. La merde montait maintenant plus haut sur ses chevilles. Sur un mouvement de tête d’un ancien, elle commença à déboutonner le bas de sa robe. Arrivé à la taille, elle entrouvrit les pans tout en me regardant bien dans les yeux. Elle avait des jambes superbes et surtout une magnifique culotte toute blanche qui devait être neuve. Une culotte montant haut au-dessus de la taille. Une culotte qui magnifiait un pubis gonflé. Sans vraiment écarter les cuisses notre future adepte ne pouvait s’empêcher de vibrer au niveau de sa fourche. Et le blanc opaque de sa culotte devenait clair autour de la source. Sans pudeur, elle mouillait, fort, sans tenter de le cacher. Dans ma merde, je bandais mais ce que j’aurais vraiment aimé faire c’est de renifler, de lécher, de sucer cette culotte. Si vous ne le savez pas encore, je suis aussi fétichiste. Fétichiste de la culotte, du string, du maillot, du body. Devant moi, donc, une réalité plus forte qu’un rêve. Deux anciens se rapprochèrent et chacun pris un bras de la belle. La soulevèrent sans effort apparent. A peine en l’air, la belle lâcha un torrent de pisse à travers sa culotte tout en continuant à me dévisager. L’urine dégoulinait en torrent sur ses cuisses. Dévisager est le seul verbe possible. Elle ne voyait que mon visage. Tout le reste macérait depuis un certain temps dans la merde.

Tenue par les bras elle commençait à descendre lentement dans les excréments. Les pieds, puis les mollet, puis les genoux. La robe à moitié ouverte s’étala en corolle sur l’affreux magma quand les cuisses plongèrent à leur tour. Elle continua à descendre mais la robe fleurie flottait maintenant et dissimulait l’encaquement. La belle se stabilisa dans la fosse à la hauteur supposée de son nombril. Elle continuait à garder les bras en l’air pour ne pas les souiller. Je sentais remuer ses jambes, sans doute écartait-elle sa fourche pour que l’entrejambes de sa culotte se tartine bien. Après quelques minutes, les anciens la firent ressortir de la fosse. Sa robe, encore propre à l'extérieur, la faisait paraître presque normale.

 

De loin, on pouvait penser qu’elle pouvait porter des bas brun foncé. Et la robe déboutonnée s’ouvrit du haut en bas. Merveilleuse vision pour un disciple de Scato. Entièrement recouverte du dessus de la taille aux bouts des orteils. La culotte disparue sous l’épaisse couche. Les bas s’était transformé en collant  brun. Et au dessus, un tronc, des seins, un cou, une tête, des cheveux parfaitement propres. Une statue bicolore parfaite. Cela ne dura que quelques secondes. La belle fut retournée prestement et lâchée la tête la première dans la pâte puante.

 

Elle coula au fond devant moi. Je m’attendais à la voir ressortir immédiatement en crachant fort et en s’essuyant yeux, nez et bouche pour donner ses impression. Il n’en fut rien. Elle ne ressortait pas, elle ne remontait pas à la surface. Je m’inquiétais de plus en plus. Les anciens guettaient avec attention mes réaction éventuelles. Sans hésiter, je m’immergeais complètement dans le caca et remontait sans effort la belle. Qui se laissa faire sans opposer la moindre résistance. J’avais dans les bras un gros paquet de merde. Un paquet qui se cramponnait maintenant à mon cou. Nous n'avions plus vraiment forme humaine. Aucun traits discernables de nos visages, les cheveux disparaissaient sous une couche d’excréments. Nous ouvrîmes la bouche et les yeux ensemble. Immédiatement elle colla sa bouche contre la mienne et lança sa langue pleine de caque dans ma bouche pour m’explorer la cavité buccale en tous sens. Elle m’obligeait à avaler de la merde. En même temps, une main se détacha de mon cou et descendit le long de ma poitrine direction le bas-ventre. D’un coup ma bitte fut tirée et branlée d’une main de professionnelle. Il faut dire que ma queue n’attendait que cela. J'avais tiré le gros lot, une vraie salope ! Je devais immédiatement lui rendre la pareille, lui chipoter le minou, rentrer dedans.

 

Mes mains, au plus profond de la merde, baissèrent sa culotte et rentrèrent dans sa chatte sans effort. Je ne le sentais pas mais elle devait mouiller comme une fontaine. Deux puis trois doigts  pénétrèrent sans difficulté. Avec l’autre main je faisais rouler son clito entre mes doigts. Dans ses mains mes couilles et ma verge allaient exploser. Plus de doigts dans son vagin mais immédiatement mon vit. Qui s’enfonça jusqu’à la garde. Une pensée me traversa l’esprit : après le devant, le derrière. Mais en attendant il fallait pistonner le plus fort possible.

 

Je me retirais au bord extrême du jutage. Je retournais ma belle et lui mis la queue dans l’anus. Une rentrée glissando sans aucun effort. Et comble de la situation, je percevais qu’elle chiais pendant mon va et vient. Chier dans une fosse remplie de merde, il faut le faire ! Une vraie salope, j’avais dit. Quel bonheur, combien de temps cela allait-il durer ? Je fus de suite bien dépité. La belle sortait de la fosse en me disant négligemment que ce serait sa seule et unique expérience. Elle voulait savoir et maintenant elle savait. Elle ne comptait pas passer sa vie avec des malades. Merci pour le compliment ! Mais avait-elle vraiment tort ?

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